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Les professionnels
La Fondation Greffe de Vie bénéficie du soutien des professionnels de santé et des sociétés savantes impliqués dans les métiers de la greffe.
Pr Bernard Charpentier
Chef du service de transplantation rénale à l'Hôpital du Kremlin-Bicêtre, Président de l'ESOT (European Society of Organ Transplants),
Une Fondation consacrée à la transplantation est nécessaire
Avec 300 transplantations intra-abdominales par an (rein, foie et pancréas), l'hôpital du Kremlin-Bicêtre bat les records. Disposant de quatre réanimations,
il est à la fois centre de transplantation et centre de prélèvement depuis les années 1970.
Pr Jean-Paul Soulillou
Directeur de l'Institut de Transplantation et de Recherche en Transplantation (ITERT), Chef du service « Néphrologie et Immunologie clinique »
(transplantation rénale) au CHU Hôtel Dieu à Nantes, Professeur d'université, Directeur de l'unité INSERM U643
Notre centre de transplantation rénale est l'un des plus importants d'Europe et le premier pour le pancréas en France. L'unité INSERM (100 personnes) dont je suis responsable
est l'une des rares en France qui soit consacrée à la recherche fondamentale et appliquée sur la transplantation dont la xénotransplantation (greffe de donneur animal).
Pr Henri Kreis
Fondateur et ancien Président du Groupe Coopératif de transplantation d'Ile-de-France (GCIF), Membre fondateur et ancien Président de la Société Française de Transplantation
Impliqué dans la transplantation depuis 40 ans, j'ai cherché en vain depuis plus de 15 ans à créer une Fondation pour la transplantation.
Pourquoi ? Parce qu'il ne suffit pas de proclamer que la transplantation est devenue une nécessité pour un nombre croissant de patients.
Pr Yvon Lebranchu
Néphrologue au CHU de Tours, Président de la Société Francophone de Transplantation,
Pour que le don d'organes devienne une priorité nationale
Notre société regroupe tous les médecins impliqués dans la transplantation dans les pays francophones.
Nous sommes tous confrontés en permanence à deux phénomènes : la pénurie d'organes et la pénurie des moyens des équipes de transplantation françaises.
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